Nina SIPRA - 08/08/2021 - 18:30
Une plate-forme de signalement des incidents devrait être mis en place, pas seulement pour les incidents sanitaires ou les espèces invasives.
En Grande-Bretagne, les autorités appellent tous les intervenants à les aider pour lutter contre la vente illégale de poissons à travers la campagne "Looks fishy ? Don't risk it!" d'avril 2016.
Dans les Cornouailles, l'administration anglo-saxonne met régulièrement à jour la liste des affaires de pêche illégale et des sanctions prononcées depuis 2015.
L'ONG CRIME STOPPERS traite tous les actes délictuels, notamment ceux en relation avec
l'environnement, comme des faits de pollution, de braconnage en tous genres ou de destruction d'habitats naturels.
Aux USA, l'administration américaine NOAA propose un numéro 24h/24. L'administration
propose des récompenses sur des cas ciblés, comme par exemple 54 000 $ pour des destructions de dauphins par arme à feu.
En Australie, existe le même système gouvernemental avec CRIMFISH, et un numéro de
signalement.
Commentaires
Un détail : le nom du projet porte la mention "2030". Cela veut-il dire qu'il faudrait 9 ans pour seulement commencer à appliquer les mesures proposées ? Plus je parcours ce texte et plus je doute qu'il vaille le coût du salaire des gens qui y ont travaillé...
Commençons par régler les questions urgentes avant d’enrichir la palette d’organismes redondants ou inutiles !!!
1- La surpêche !!! c’est un ENORME PROGRAMME si l’on veut enrayer l’effondrement des espèces économiques et les conséquences écologiques qui nous attendent comme l’ inversion de faune et de flore sous-marine
2- La réforme de la pêche professionnelle notamment la remise en cause voir l’abandon de la délégation de service public accordée au Puissant et devenu incontournable Comité National des pêches :
3- Contrôler les relations troubles qui existent entre le CNP et les élus locaux nationaux et enquêter sur les possibles financement illicites de campagnes.