Mer Littoral 2030Documents stratégiques de façade
Identification des pistes en matière de suivi
Retrouvez la présentation du dispositif de suivi et des différentes parties du DSF.
Vous pouvez retrouver l'ingralité du dispositif de suivi dans l'onglet "Dispositif de suivi" de la façade.
Arlette Laplace-Dolonde - 20/08/2021 - 19:50
Les agents qui surveillent les différentes activités de pêche ou d'aquaculture sur le terrain ne sont pas assez nombreux. De plus le répressif ne suffit pas. Il faut penser à des modes de responsabilisation du citoyen en tant que pêcheur à pied, pêcheur embarqué, mytiliculteur ou autre. L'expérience que nous avons à l'APP2R (Association pour une pêche à pied respectueuse de la ressource) de formation à des pêches à la forme montre que les pêcheurs amateurs sont sensibles à une approche environnementale et géosystèmique de l'estran (sensibilisation aux massifs d'hermelles, zostères, rôle des blocs).
Audrey - 15/08/2021 - 14:53
Comme demandé depuis des années :
- caméras embarquées sur les bateaux de pêche (qui filment l'entièreté des bateaux et h24)
- beaucoup plus de contrôles pour pouvoir exploiter ces vidéos mais également des contrôles sur le terrain (pêches, activités de loisirs, activités polluantes...)
-Stopper les simples "avertissements" et mettre en place de véritables sanctions (amendes, arrêt de l'activité...) ce qui suppose de donner du poids aux contrôleurs
Lord Hebus - 15/08/2021 - 14:05
Pour evaluer l'éat ecologique de façon permanente, il faut renforcer les modes de controle.
Cela passe par un renforcement des effectifs d'agent de protection en charge des controles, qui ce soit sur le littoral, en mer, à la pêche etc... Les agents sont actuellement en sous effectifs, et font figure d'épouvantail.
D'autre part, il faut imposer des outils de controle. Les navires de pêche devraient être équipés de caméras, pour pouvoir évaluer concrètement ce qui est pêché, ce qui est détruit. Ainsi, nous aurions une meilleure vision des actions à entreprendre pour améliorer la gestion des ressources.
Enfin, que la France soit à l'initiative en matière de protection serait bien mieux que devoir répondre en catastrophe à des injonctions de l'Europe pour s'éviter des millions d'euros d'amendes en sanction pour inaction...
L'appel à contributions est désormais clos.