Mer Littoral 2030Documents stratégiques de façade
Selon vous, les actions présentées sont-elles cohérentes avec la stratégie ?
Vous pouvez consulter la liste des actions par thématique pour la façade Nord Atlantique Manche Ouest.
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Je pense sincèrement qu'on devrait dire STOP ! On arrête tout ! Et avant de regarder devant nous, regarder ce que nous avons déjà détruit, pollué, saccagé. Et le réparer. J'ai lu la contribution de Valia66, nous sommes comme le fumeur qui n'arrêtera pas de fumer tant qu'il est malade. J'irais plus loin. Quand il s'agit de la Nature, nous devrions faire la même chose que quand nous allons aux toilettes et veiller à ce que tout soit propre derrière nous. Est-ce qu'un poisson sait ce que veut dire "résilient" et "innovation" ? Je suis pour une pêche raisonnée, ciblée et calculée sur nos besoins. Et si nous ne trouvons pas le moyen de le faire, c'est que nous ne voulons pas le faire.
L'"économie bleue" doit rester soumise à la conservation d'un patrimoine naturel constant, garant d'une économie et d'une prospérité durable. Pour cela, les DSF doivent s'assurer que la protection de l'environnement marin prime sur le critère de rentabilité des nouvelles activités en développement. Quand c'est possible, les activités existantes impactantes doivent être réduites, dans le respect des humains qui les pratiques et qui en vivent, dans un plan de moyen/long terme (cf. fiches actions).
La mer doit rester un bien commun et ne doit pas être privatisée. Il faut protéger la pêche artisanale, socle de nos territoires maritimes, ainsi que la biodiversité. Non à l'implantation d'éoliennes offshore, qui détruisent la pêche artisanale et la biodiversité. Non à cette énergie prétendument verte, qui n'a aucune utilité pour La France.
Je suis contre les usines éoliennes offshore lorsqu’elles sont installées à proximité ou au cœur de zones protégées telles que la baie de Saint Brieuc.Elles mettent en péril la survie d’espèces et d’habitats protégés et entraînent des impacts irréversibles sur des écosystèmes dans leur intégralité.
Je suis pour la prise en compte par l’Etat Français des avis scientifiques, tels que l’avis du CIEM et l’avis du CNPN.
Concilier identité maritime, économie bleue, aménagement du littoral, voilà l'équation à résoudre pour les années à venir pour notre littoral et la mer en général. L'homme à un impact important sur les océans. Il s'agit d'augmenter les impacts positifs et diminuer les impacts négatifs.
Respect des territoires naturels, faune , flore. Mise en place d'une politique de préservation des espèces, de l'environnement. Donner les moyens de cette politique ( humains, financiers, études d'impact ).
Trouver un équilibre entre préservation des espaces naturels ( littoral/mer ) et maintien d'une économie littorale.
Pas de développement touristique de masse. Limiter, réduire ou interdire l'accès à certaines zones sensibles ou fragiles ( ex. les îles Glénan )
Sensibiliser tous les acteurs, les populations qui vivent ou viennent dans ces territoires au respect de cet environnement
La stratégie affichée par les pouvoirs publics, y compris à travers le plan d’action du
DSF NAMO, de promouvoir une économie bleue doit reposer sur une logique d’intégration de cette
économie à la capacité de l’environnement de la supporter. Les actions prévues dans le plan d’action
mettent clairement la priorité sur l’économie au détriment de la protection et de la préservation de
l’environnement.
Habitant du Morbihan et marin. Historiquement, l'homme s'est plu très tôt dans cet environnement côtier car il pouvait y vivre en climat tempéré, tirer des richesse de la mer (poissons, coquillage et sel), y exercer agriculture et élevages, bénéficier des énergies éoliennes hydroliennes dispo( moulins ven&marée), et exercer une activité de commerce de cabotage grâce aux ports aux grèves de ses côtes, ce jusqu'à la fin de l'époque moderne à minima. Il est à noter que les ports en amont des fleuves côtiers étaient très actifs (Redon, vannes, Hennebont, etc...) avant que les villes ne perdent leur vocation commerciale centrale.
En plus des nombreuses initiatives positives, je tiens à souligner: priorité aux professionnels de la mer vs. loisir, valorisation métiers (commerce, pèche, ostréi, alg ..), liaisons maritimes côtières ro/pax & cabotage pour désengorger réseau routier côtier, préférence de l' hydrolien à l'éolien moderne, favoriser biocarburant ou voile, ..en vivre sans salir.
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Passionnée par l'écologie marine, la beauté de la nature et de ce que la science nous apprend, je veille à défendre les enjeux environnementaux mer et littoral.
La recherche doit nous apporter encore plein de connaissance sur ces environnements en ayant les moyens de mieux comprendre les impacts des activités anthropiques et/ou les mécanismes irrémédiables (Cf dérèglement climatique).
L'appel à contributions est désormais clos.
